Artwork for sale

Michel Perrin

  • Seller type: Collectionneur / Amateur d'art
  • Style: Figuratif
  • Category: Peinture originale
  • Title: Paysage d'hiver
  • Medium: Huile
  • Size: 61.25 cm X 51.25 cm (28.5 po X 24.5 po)
  • State: Parfait
  • Signature: Signé à la main par l'artiste à l'avant
  • Certificate include: Non
  • Exchange possible: Non
  • Seller’s City / Region: Otterburn Park
  • Province: Québec
  • Price: Log in to see the price
Michel Perrin

Né en 1932 à Lyon et mort en octobre 2001 à Chénelette (Rhône), est un peintre français. Il s'est imposé comme le meilleur peintre de la neige canadienne, plus particulièrement de celle du Québec.

Originaire du Beaujolais, il émigre à Montréal (Canada), où il vit de 1968 à 1977, y enseignant la peinture, le dessin et l'histoire de l'art.

À l'âge de 17 ans, il entre à l'École nationale des beaux-arts de Lyon, puis à l'École nationale supérieure des arts décoratifs en 1953. En 1981, il remporte le Grand prix des amateurs d'art à Lausanne (Suisse). L'année suivante, la Ville de Lyon fait l'acquisition de l'une de ses œuvres. En 1992, il obtient le 2e Grand prix de la Ville d'Alençon, et en 1996, une de ses œuvres est exposée au Musée de Moguilev (Biélorussie).

Dans les années 1980 - 1990, il voyage régulièrement de Montréal à Chénelette pour retrouver sa grande inspiratrice, la neige canadienne.

Certificat d'authenticité fourni avec le tableau.

Trapu, une force de la nature, Michel PERRIN était fait pour comprendre ce pays, le Canada, où il choisit d’y vivre et de lancer sa carrière artistique. En relevant le défi singulier de peindre ses immensités blanches, il finit par s'imposer comme le meilleur peintre de la neige du Québec, alors que rien ne semblait alors l'y disposer. Issu du Beaujolais dont le vin fait chanter les cœurs et pétiller l'esprit, Michel et sa femme se lancèrent à la découverte du Canada et aussitôt « tombèrent en amour » avec.

Son destin, sa grande inspiratrice, c'est la neige toujours blanche, jamais la même, dont il est le seul qui sache percevoir l'immobilité froide, mais aussi, en quelques touches de rouille, de bleu, de brun, rompre l'uniformité et créer le rythme. Mais l'essentiel réside dans la communication du peintre et de son sujet. Il a besoin du contact avec les éléments, de respirer amplement ces espaces qui vibrent dans ses toiles.

Le paysage répond chez lui à une exigence intérieure.

Comme il le disait lui-même "il faut des heures de labeur pour quelques instants de plénitude".
Le fruit de ces minutes privilégiées, ce sont ses toiles et illustrations empreintes de sérénité.